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Ah! la jolie petite clairière... Il gèle à pierre fendre. Les branches de sapin plient sous la neige et les pics de givre. Pas un bruit, l'aube va poindre. Un petit sentier part à gauche , un autre vers la droite
Cuisine et gastronomie sont mes passions. Mes influences? Le monde entier! Pourvu que ce soit bon. Et par dessous tout, tout ce qui vient de notre mer nourricière:)
Ah! la jolie petite clairière... Il gèle à pierre fendre. Les branches de sapin plient sous la neige et les pics de givre. Pas un bruit, l'aube va poindre. Un petit sentier part à gauche , un autre vers la droite
Ah! ce méchant remords qui te taraude tandis que tu reviens vers la dépouille du petit ogre. Tu essaies de creuser une tombe à l'aide d'une branche. C'est difficile, la terre est toute gelée. Tout à coup tu heurtes quelque chose de métallique. Tu finis...
Ah! le joli petit sentier qui serpente dans la forêt pleine de ténèbres... La température est glaciale. Un renard glapit au loin. Tu trembles de froid et de peur. Enfin te voici dans une clairière. Elle a un air vaguement familier. Un petit sentier part...
Ah! le brave ogre ! tu t'inclines respectueusement et que salues de la sorte: « Ogre très honorable! Que le ciel soit avec toi en cette magnifique matinée... » Tu n'iras pas plus loin. L'ogre se jette sur toi en hurlant. Une lutte sans merci s'engage....
Ah! Le joli petit chemin qui se perd au fin fond des bois. Tu continues vaillament. Des ronces griffent ton visage et les frondes de hautes fougères s'enroulent autour de tes membres. La peur te tenaille le ventre. Enfin, tu arrives dans une clairière....
Tu salues bien bas et t'assieds à la droite du Père Noël. Il te sourit avec bonhommie. Ses bonnes joues roses, ses longues boucles argentées, de tout son être émage une douce bienveillance. Il te demande ce que tu penses du pari de Pascal. Ta réponse...
Ah! le vaste chalet du Père Noël perdu dans la grande forêt ténébreuse : A l'intérieur, il y a des hommes et des femmes, tous de blanc vêtus. Chacun porte un petit soleil autour du cou. A votre arrivée, ils se prosternent et profèrent : « Bienvenue, O!...
Tu montes sur une chaise et déclames : « Oh affreux ogres goîtreux aux ventres toujours creux De la rose vous n'avez pas l'arôme et vos borborygmes nous assomment» Les ogres se précipitent sur toi et t'assomment à coups de bocks. Losqu'enfin tu reprends...
L'ogre tombe et brise la couche de glace, le courant l'emporte : Il tente de t'aggriper pour t'entraîner dans cette eau glaciale mais tu es déjà à l'abri sur le pont. Poursuis ta route, poursuis ton chemin, enfonce-toi toujours plus loin dans la ténébreuse...
L'ours se fait tout petit : Il fuit la publicité comme la peste. Pour garder l'anonymat, il porte de grosses lunettes de soleil. En vain. Tu déclenches les clichés en rafale. La mémoire-flash de ton numérique sature. Pas de doute, Paris-Match t'achètera...